![]() Se désabonner LE CORPS HOLOGRAMME// lettre d'information n°2
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1 - Diététique![]() Des mesures simples comme manger majoritairement cuit (contrairement à la mode actuelle) et chaud, comme prendre ses fruits en dehors des repas, comme supprimer les sucres (desserts, pain, pates et céréales) et le plus possible le sel, comme consommer des protéines au petit déjeuner (œuf, poisson, pollen, fruits à coques, etc …), constituent déjà des progrès importants par rapport au niveau de repas moyen de l’occidental moderne ! Pour l’Homme, la monodiète selon Ste-Hildegarde (légumes et soupe d’épeautre non hybridé) ou encore le jeûne dirigé, sont des moyens éprouvés pour changer radicalement la flore intestinale et diminuer le nombre de toutes ses bactéries ( www.lesjardinsdhildegarde.com et/ou www.virita.de). La diète cétogène, avec 0 sucres (c’est-à-dire ni céréales, ni p. de terre, ni sucres rapides), de bonnes graisses végétales et des protéines, semble être la voie à suivre en cas de cancer, comme en cas de neuro-dégénérescences : voir les livres « le régime cétogène contre le cancer » et « Cancer, un traitement simple et non toxique » aux éditions Thierry Souccar. Mais comme cette diète est parfois difficilement supportée, il s’agit d’ajouter alors des enzymes pancréatiques (Créon, Eurobiol en pharmacie) et/ou des cholérétiques (radis noir, pissenlit). ![]() ![]() Chez l’animal, changer d’alimentation revient le plus souvent à redonner des aliments frais au lieu d’aliments industriels. Afin de compléter un changement de régime radical, on peut supplémenter son patient avec du Biocitrucid (extraits de pépins de pamplemousse adjuvés d’oligo-éléments chez www.phytofrance.com , 50 gouttes 3 fois/j) ou encore du gel d’aloé véra (en magasin bio, 2c à soupe/j, 15 jours seulement par mois, sinon on constate des irritations de la muqueuse) : ces 2 produits permettent un nivellement salutaire des flores de fermentation et/ou de putréfaction de l’intestin. Aussi, en cas de cancer, les jus de légumes frais (obtenus avec un extracteur de jus) sont une source importante de vitamines, d’oligo-éléments et d’enzymes, le tout présenté sous la forme la plus réductrice possible (riche en électrons), c’est-à-dire à l’inverse de l’oxydation (et déshydratation) forcenée des tissus cancéreux. La cuisine à l’aide d’aromates et d’épices douces (coriandre, fenouil, gingembre, anis, cumin, etc …) constitue par ailleurs un atout précieux, afin d’assurer les meilleures digestions possibles à chacun selon sa typologie : plus étonnant encore est le produit que nous avons ramené l’an dernier du Japon, l’ail noir, qui représente une préparation fermentée de l’ail commun : ses propriétés protectrices des vaisseaux (veines et artères), fluidifiante du sang, hypoglycémiante, hypocholestérolémiante, anti-infectieuses et antiparasitaires, en font en fait un super-aliment à recommander à tous après 45 ans ! Voir en France les sites www.ailnoirdebillom.fr et www.thiercelin1809.com. Depuis avril 2017 vous pouvez également vous approvisionner en ail noir bio de premier choix puisque fabriqué en prières par les sœurs Clarisses de Lourdes. Il vous suffit de passer commande sur leur boutique internet : http://clarisses-lourdes.org/sisters.html Enfin, le point essentiel de la diététique de tous les jours - toujours oublié - est l’apport en eau de boisson et en liquides dans le cours d’une journée : la dose recommandée est de 30 ml/kg/j ! d’une eau pur et dynamisée, soit 2 litres d’eau ou de tisanes pour 70 kg de poids ; or la moitié au moins de la population « fonctionne » - très mal – avec seulement un demi-litre par jour ! là encore cette déshydratation tissulaire chronique est synonyme d’oxydation accélérée ; il n’est pas utile de mettre en œuvre quelque traitement que ce soit, si l’on a oublié de faire boire beaucoup, « propre » et chaud. 2 - DétoxificationLes mesures les plus efficaces et les plus simples pour détoxifier les tissus et le foie sont les lavements intestinaux au café vert (voir www.jaderecherche.com) : de 1 fois par mois à 1 fois par jour ( 2 fois par semaine est déjà une bonne pratique de drainage !), le but est ici de nettoyer la muqueuse du rectum et du colon descendant et d’en éliminer au moins pour une grosse part la flore de putréfaction devenue pathogène et productrices de polyamines, quand elle est trop abondante.Les plantes du foie et des reins sont également indiquées (radis noir, pissenlit – décoction des racines -, artichaut, chardon-marie). Un autre moyen de nettoyage du tissu conjonctif est le bain hyperthermique et hypersalé (41°C au moins et 20 g de sel par litre d’eau) ; les japonais le pratiquent plusieurs heures par jour jusqu’à la ceinture ; d’autres (le Dr Marti en Espagne) le recommandent 15 mn par jour pour tout le corps ou bien au moins, sur les pieds et les avant-bras. La perfusion de plasma de Quinton en injection sous-cutanée – autour du nombril - est aussi un moyen de redonner à l’eau intersticielle de l’organisme, la structure originelle de l’eau de mer, ainsi qu’une bonne charge d’oligo-éléments de composition équilibrée ; le niveau de cet apport peut atteindre 250 ml/j voir le site www.source-claire.com ou www.csbs.fr. A lui seul, ce moyen de réhydratation et de réinformation est un outil très puissant en matière de détoxification et de régénération. Cicatrisante, détoxifiante et désinfectante est la chlorophylle que l’on trouve abondamment dans l’algue chlorella, en même temps que des molécules cicatrisantes de la muqueuse stomacale et intestinale. (On peut prendre de 5 à 15 comprimés de chlorella 3 fois par jour). Un chapitre important de la détoxification du corps est l’ablation des métaux lourds en bouche par des travaux sur les dents, malheureusement souvent longs et coûteux. Il faut ensuite idéalement pratiquer la chélation des métaux (par le DMSA, la zéolithe – voir www.panaceo.com - et/ou autres protocoles associés) imprégnés dans le tissu conjonctif et la graisse du cerveau. ![]() Enfin, 2 molécules sont à même d’apporter une aide puissante à la détoxification du corps, surtout quand celui-ci se bat pour assimiler des chimiothérapies toxiques : l’une est le glutathion (voir le sublinthion sur le site www.labo-lestum.fr) qui est une majeure clé pour un travail correct du foie et l’autre est l’acide lipoïque (2 à 5 x 300 mg/j voir le métalipoate sur le site www.bionutrics.fr ou le sodium R lipoate sur le site www.supersmart.com ) qui redonne aux mitochondries le pouvoir de brûler les sucres à haut rendement énergétique, ce qui évite l’acidose lactique cellulaire, puis tissulaire, typique des lésions tumorales (voir le livre du Dr Laurent Schwartz aux éditions Thierry Souccar, à paraitre au 1er Septembre 2016). 3 - Désinfection
Le lien entre cancers et infections chroniques n’est plus à démontrer : hélicobacter/EBV et cancer de l’estomac, EBV et Herpès et cancer du sein, papillomavirus et cancer de l’utérus ou de la prostate, cytomégalovirus et glioblastome, etc …
Dans les années 80 (voir le livre 4 women against cancer), un groupe de microbiologistes américains a pu établir le lien entre la présence systématique de mycobactéries pleïomorphes (c’est-à-dire changeant de forme et passant de l’état bacille à celui de coque ou encore de mycélium) et des maladies comme le cancer ou la sclérodermie : ces mycobactéries étaient capables de reprogrammer un cancer sur des végétaux ou des animaux auxquels on les avait réinjectées. L’apport de plantes et/ou d’huiles essentielles pour contrer quotidiennement la prolifération des bactéries, des virus et des champignons est une démarche préventive et curative présente dans toutes les médecines traditionnelles. Ce faisant, on évite ainsi nombre de maladies infectieuses, mais aussi la plupart des maladies dégénératives chroniques – dont les cancers - au cours desquelles évoluent à bas bruit des infections dites « froides ». Nous avons retenu 3 stratégies dans ce domaine :
La diminution de l’incidence et de la virulence des virus et des bactéries dans le corps et en particulier dans l’intestin (voir §1) est une bonne chose, si l’on considère que les micro-organismes par définition se développent à nos dépens et donc détruisent les tissus, plus encore ceux d’une personne malade, ce qui entraîne la production de polyamines cancérigènes. ![]() NB : Pour contrer spécifiquement les virus, les candidas et les bactéries pathogènes, le SWD du Pr Meyl permet à la fois une vectorisation des HE par la voie des ondes scalaires au travers du patient, mais aussi (voir §4 et lettre d’information n° 1) une modulation par les fréquences de Rife de l’onde porteuse, avec là encore des propriétés anti-infectieuses directes. 4 – EnergieAprès avoir corrigé sa diététique, détoxifié et désinfecté un patient, il s’agit enfin de lui donner de l’énergie d’une part et par ailleurs de lui apporter des informations capables de contrer la progression du cancer d’autre part : le SWD du Pr Meyl est dans ce cas de figure, un outil qui s’avère indispensable. Si le SWD représente l’apport de lumière, il faut compléter son action activatrice du métabolisme par un apport d’électrons, ceux-là même qui sont produits par les bactéries réductrices de notre flore intestinale. Le cancer étant une accumulation locale de produits toxiques et/ou de déchets tissulaires en voie de nécrose, sa charge électrique est très positive (perte d’électrons ou oxydation) et la négativation électrique (voir la prochaine newsletter) doit neutraliser cette tendance positive. Trop de charges électriques positives signifient un tissu en voie d’oxydation massive. Notre générateur d’électricité négative sous la forme de micro-courants pulsés, selon les travaux de Charles Laville, devrait être disponible à la mi-juillet 2017. Il apportera une innovation majeure comparé aux modèles existants, celle de sur-moduler le champs pulsé à 72Hz par les fréquences de pulsations du patient pour une parfaite résonance et des résultats encore supérieurs. Concernant la nécessité de lutter contre les micro-organismes présents, il est possible désormais d’utiliser le SWD comme transmetteur des fameuses fréquences de Rife, qui vont inhiber le développement de virus ou de bactéries spécifiques (logiciel et générateur de signaux à commander sur le site www.spooky2.com). Un diagnostic par sérologie ou par PCR peut orienter le choix des séries de fréquences appropriées. L’utilisation de balayages de fréquences qui en théorie pourraient atteindre tout type de micro-organismes, même encore inconnus (mycobactéries cancérigènes ?) n’est pas encore assez aboutie pour être testée sur le terrain ? Elle pourrait être dangereuse même sur les germes qui nous sont utiles …. L’avantage du SWD couplé à ce logiciel et à ce générateur de modulation de la porteuse scalaire, est de pouvoir neutraliser les micro-organismes de chaque patient : cela suppose une recherche et un traitement très spécifiques de chacun, donc dans le cadre d’une individualisation du diagnostic poussée. Pour à la fois envoyer une information de destruction aux micro-organismes présents et en même temps au tissu tumoral, le protocole suivant a été retenu :
Le but de ces séances est d’inhiber une tumeur ayant proliféré jusqu’à présent sans contrôle ; encore faut-il pour obtenir un résultat que le corps n’ait plus besoin de fabriquer cette ou ces tumeur(s), qu’elle(s) soi(en)t devenue(s) inutile(s). Une tendance qui ne sera obtenue qu’avec la stricte observance des § 1 à 3. ![]() Le traitement par le SWD devient alors une « radiothérapie » très spécifique par les ondes scalaires, à visée de désinformation de la tumeur plutôt que de destruction directe de celle-ci et en même temps d’induction d’une défense renforcée contre les antigènes (bactéries, virus) destructeurs des tissus. Ce protocole -applicable quelles que soient les tumeurs- comprend donc plusieurs volets de § 1 à 4 qui sont d’égale importance. Le plus spectaculaire est le chapitre 4 d’inhibition de la prolifération tumorale par les ondes scalaires. Ces dernières étant porteuses d’informations contraires à la croissance tumorale et en même temps contraire à la prolifération de divers micro-organismes, spécifiques de la personne traitée. Cette individualisation de la thérapie est une des garanties du succès. Il est à noter que le SWD apporte une énergie assimilable, mais elle peut l’être également par la tumeur ; ce qui signifie que durant la phase où la tumeur est présente, il convient que cette énergie apporte une information anti-tumeur très précise qui amène à sa régression (et aussi en même temps de bonnes doses d’électrons libres anti-oxydants – voir la négativation - ) : une huile essentielle contient plusieurs centaines de molécules, ce qui sous-entend plusieurs centaines de fréquences associées ; une série de fréquences de modulation de type Rife est une autre façon d’apporter des informations anti-cancer, sous une forme plus physique. Il faut donc inhiber par la voie des ondes la prolifération des tumeurs, en ajoutant à l’énergie (le champ scalaire très pénétrant) des informations spécifiques anti-infectieuses et/ou anticancéreuses. Ce protocole est une étape sur une voie de recherche très prometteuse et élégante en matière de thérapie anticancéreuse ; il n’est certes pas encore complet, mais il permet de multiples adaptations à chaque situation particulière. Il peut être observé autant par un médecin que par un vétérinaire dans le suivi de leurs patients cancéreux : la maîtrise des différents points – et surtout la compliance ! - étant plus facile à obtenir chez l’animal qui n’a pas le choix que chez l’homme, il n’est pas douteux que des résultats plus nets et positifs seront obtenus plus rapidement chez l’animal ? …. Les premiers rapports qui nous parviennent et qui utilisent le SWD comme apport d’énergie générale et d’informations spécifiques dans le cas des pathologies cancéreuses, vont déjà dans ce sens. En résumé, la stratégie 3D.E appliquée au traitement des cancers comporte 3 volets :1 – nettoyer l’organisme assez pour que le stockage des toxines, des toxiques et des déchets tissulaires deviennent inutile pour le corps sous une forme localisée et circonscrite, lui-même étant redevenu capable de se drainer lui-même en temps réel.
2 – désinfecter assez longtemps les tissus et les organes de manière ciblée, de façon à soulager d’autant - et longtemps - l’immunité du patient. 3 – apporter de l’énergie discrètement et en profiter pour faire passer des messages anti-prolifératifs, le temps que le potentiel de drainage du corps par lui-même ainsi que son potentiel immunitaire soit complètement restaurés. Le but de ces 3 points étant bien entendu une cure durable dans le temps – c’est-à-dire sans récidive - de cette inflammation/infection/intoxication chronique que représentent les cancers. Vous avez certainement déjà traité par divers procédés certains de vos patients atteints de cancers ? Si votre expérience confirme la nôtre et surtout aussi, si vous souhaitez partager avec les membres de la communauté SWD – en toute confidentialité via le forum – votre expérience, n’hésitez pas à nous écrire/décrire vos cas. Chacun peut/doit rapporter les détails de stratégies thérapeutiques qui lui semblent importants dans ce domaine difficile de la pathologie cancéreuse. Décrire les échecs est également utile, de façon à pouvoir mettre en œuvre ensuite des traitements plus complets et plus adaptés. Merci par avance pour vos témoignages et vos questions, Bon travail ! Septembre 2016 Dr vét. Hervé JANECEK CYTOBIOTECH Sarl 912, Rue de la Croix Verte - Bat 3 CS 70488 34196 - MONTPELLIER cedex 5 Tél : 0033 (0)4 67670242 Fax : 0033 (0)4 67843136 courriel : hjanecek@cytobiotech.com site web : www.lecorps-hologramme.com |
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