Le SWD
le SWD (Scalar Wave Device ) est destiné à produire un champ d'ondes scalaires sous faible tension de 2 volts.
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Lettre d'informations n°3 : SWD et fréquences de Rife
 LE CORPS HOLOGRAMME// lettre d'information n°3
Un atout dans la lutte contre les micro-organismes pathogènes |
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1 - Historique & principesC’est dans les années 30 que Rife défraya la chronique en annonçant avoir découvert le moyen de neutraliser toutes les maladies ! La presse de l’époque s’en fit l’écho, d’autant que Rife put guérir en seulement quelques semaines des malades jugés incurables, atteints soit de tuberculose avancée, soit de cancers ; l’outil qu’il utilisait alors était un générateur d’ondes émises par un tube à plasma ; l’onde porteuse créée devait ensuite être modulée par des signaux discontinus que l’on a appelé « les fréquences de Rife ». Même après le décès de leur instigateur quelques 40 années après, ces fréquences ont continué à être l’objet de recherches nombreuses et elles ont été utilisées sur des répliques du générateur de Rife, avec des succès très inégaux, liés non pas tant aux fréquences elles-mêmes qu’à la qualité relative des technologies de transmission choisies, ou encore à l’absence d’onde porteuse.Le tube à plasma présent sur la première machine de Rife produisait des ondes scalaires, de nature longitudinale, même si Rife lui-même ne le savait pas, car ce type d’onde n’était pas encore décrit à l’époque. Et c’est dans la modulation de ces ondes longitudinales que les transferts d’énergie et d’informations spécifiques s’opéraient avec le patient ; or les machines Rife modernes n’ont pas encore la notion d’ondes longitudinales, et si elles utilisent un tube à plasma, celui-ci est trop petit pour créer un champ dans lequel on peut plonger le corps complet d’un patient. Aujourd’hui, le SWD du Pr Meyl est le seul appareil de bio-résonance au monde à pouvoir démontrer la réalité d’une résonance entre ses 2 antennes sphériques, sur la base d’une onde porteuse, qui est produite pour être de nature longitudinale. Ensuite, la résonance entre l’antenne réceptrice et le patient peut elle aussi être prouvée. C’est sur cette antenne réceptrice (1 sur la photo ci-dessous) qu’il est devenu possible aujourd’hui d’appliquer les fréquences de Rife, de façon à moduler l’onde porteuse du SWD au niveau de la bobine plate de Tesla, apparente sur cette antenne. Si l’on évoque une analogie avec une station de radio : l’onde porteuse, c’est la fréquence que vous devez sélectionner sur votre poste de radio pour capter les émissions d’une seule station émettrice (par ex RTL ou Europe 1) ; la modulation est l’information transportée, par ex la voix d’un artiste ou les sons d’une symphonie, qui est portée par l’onde de référence ; onde porteuse et modulations sont donc des notions très banales que chacun utilise couramment, dès qu’il ouvre son poste de radio ou bien de télévision. Les fréquences de Rife ont été définies afin de lutter efficacement contre les micro-organismes (virus, bactéries, champignons) mis en évidence dans la plupart des maladies aiguës ou chroniques. Il a été démontré que certaines séquences très précises de signaux inhibent voire détruisent in vitro et in vivo les virus et les bactéries, mais aussi les levures, les champignons et les parasites pathogènes sans impact sur les tissus sains et les flores symbiotiques. Rife inventa un microscope pour visualiser les micro-organismes sous leur forme vivante ; à l’aide de celui-ci, il pouvait donc vérifier leur mort après traitement par les ondes modulées de son tube à plasma. Il existe aujourd’hui des bases de données très diverses sur internet qui permettent un accès direct et gratuit à ces fréquences de Rife ; à l’aide d’un ordinateur PC et d’un générateur de fréquences adapté, il est possible de recueillir ces fréquences et de les transmettre à l’antenne réceptrice du SWD en tant que signaux de modulation de l’onde porteuse –certifiée scalaire – de cet appareil. Ainsi, le patient qui se trouve dans le champ du SWD peut bénéficier de ces modulations spécifiques, sélectionnées précisément afin d’inhiber tel ou tel micro-organisme pathogène. 2 - En pratiqueLe SWD, qui pouvait déjà transmettre les informations de produits biologiques complexes, comme les huiles essentielles ou les extraits de plantes, devient ainsi un appareil porteur de signaux précis antibiotiques et/ou antiviraux sur la base de l’émission de ces fréquences spécifiques, dites de Rife.
Comment pratiquer cette nouvelle médecine anti-infectieuse, à la fois élégante et précise, et de plus sans effet secondaire ? Il faut donc disposer d’un SWD, d’un ordinateur portable de type PC et aussi d’un générateur de ces fréquences, que l’on achète aujourd’hui facilement sur internet.   Pour obtenir un large panel de fréquences de Rife, nous avons choisi une base de données téléchargeable gratuitement que l’on obtient sur le site www.spooky2.com . De même, le générateur de fréquences adapté de type M-5 est disponible à prix réduit sur ce même site. Une fois le logiciel spooky2 téléchargé, on se trouve devant un écran qui ressemble à la figure suivante :  Il est possible de sélectionner facilement une ou plusieurs séries de ces fréquences de type Rife dans une liste qui apparait en haut de l’écran à gauche ; puis de choisir une forme d’onde, carrée ou sinusoïde ; enfin de déterminer la longueur du temps de l’émission de modulation. Une fois lancée, cette modulation est transmise au générateur externe au PC, puis à la bobine plate du SWD. La personne qui se trouve dans le champ de l’appareil bénéficie alors des fameuses fréquences de Rife au sein d’une porteuse de nature longitudinale qui l’enveloppe complètement. L’association d’un champ porteur de type scalaire et des modulations de fréquences Rife n’existe nulle part ailleurs. 3 - Applications & protocolesQuel est l’intérêt de cette association ? Les concepteurs des appareils modernes délivrant les fréquences Rife aujourd’hui n’ont pas pris la mesure de l’importance d’une onde porteuse nécessairement de type scalaire pour transmettre ces signaux de modulation. Grâce à Spooky2, ces signaux sont disponibles mais sans onde porteuse, donc sans pénétration possible, ni résonance vérifiable avec le patient. Mais si on intègre ces fréquences au champ scalaire produit par le SWD, la durée d’exposition à un champ modulé actif peut être considérablement raccourcie (25 min par ex au lieu de 5 h !) et la répétition des séances peut être réduite (1 à 2 fois par semaine au lieu de 1 à 2 fois par jour). Un blog accessible à partir du site - en anglais – permet au débutant de bénéficier de l’expérience d’utilisateurs plus expérimentés.
L’objectif de cette association [ondes scalaires du SWD-fréquences de Rife] est de permettre le traitement des infections chroniques complexes qui ont été et qui sont malheureusement très banales aujourd’hui comme hier ; or à présent, il est possible de diagnostiquer par la clinique, la sérologie, la PCR ou par toute autre méthode fiable, des infections chroniques comme celles qui sont liées à la bactérie Borrelia, au champignon Candida, ou encore aux virus Herpès. Ex : Mme Y, atteinte par Borrelia et par le virus Epstein-Barr, ce qui lui occasionne insomnie, fatigue et vertiges. Ex : Mme Z, souffrant de fatigue et de cancer de l’utérus, lié aux virus Papillomavirus et au virus Herpès. Ex : Mme X, atteinte de borreliose chronique, mais aussi d’infection à herpès, helicobacter, et durant 30 ans de cystites à chlamydia et klebsiella, poly-infection qui s’exprime par des tremblements dits « essentiels » du bras gauche, des douleurs abdominales, une grande fatigue et une sciatique chronique. Dans ce dernier cas, l’apport des fréquences de Rife anti-klebsiella et anti-Chlamydia combinées au champ scalaire pénétrant du SWD a permis en 1 seule séance la résolution définitive des cystites, de la fatigue et de la sciatique, en passant à nouveau par une phase aiguë de cystite, suivie d’un grand soulagement interne et d’une libération de l’inflammation du bassin et de la sciatique… Les suites d’un traitement d’une infection virale chronique (herpès, papillomavirus, epstein barr virus) sont en général moins bruyantes, mais les résultats se voient aussi en quelques jours ou quelques semaines. NB : Une réaction d’Herxheimer étant toujours possible (la fameuse « crise » d’élimination des toxines et de réaction immunitaire première), il est recommandé au début d’un traitement de n’utiliser les fréquences de Rife que durant un temps raisonnable (5 à 10 min) et à faible amplitude d’émission du champ scalaire par le SWD (tourner vers la gauche, avec le cran en position 12 h, le bouton « amplitude » en bas et à droite sur le générateur de la porteuse) : une séance de SWD peut être plus longue (20 min), mais alors sans fréquences Rife associées. 1 à 2 séances par semaine au moins au début, sont recommandées afin de contrôler une infection de quelque nature qu’elle soit ; dans l’intervalle entre les séances, l’idéal est de « sauvegarder » les informations transmises sur une solution de silice (Dissolvurol ND en pharmacie ou bien silicium7pro sur le site www.silicium7.com) et d’en faire prendre 15 à 20 gouttes le matin à jeûn et le soir au coucher (ou bien de manière plus espacée selon le ressenti de chacun). Comme pour tout problème de santé, la stratégie 3D.E doit être rigoureusement appliquée, la libération des émonctoires naturels (foie, reins, intestins, peau) étant toujours indiquée et importante. Il est possible toutefois qu’une maladie infectieuse ne puisse être étiquetée précisément par un diagnostic scientifique ; dans ce cas, spooky2 permet un balayage de fréquences sur un large spectre, incluant de nombreuses harmoniques, ce qui permet d’atteindre même des micro-organismes pathogènes encore inconnus ! S’il est délétère pour les germes pathogènes, l’usage de ces fréquences en balayage doit encore faire la preuve à nos yeux de son innocuité pour les tissus sains et la flore symbiotique depuis des décennies. De même, le logiciel Spooky propose des séries de fréquences censées stimuler la vitalité de tel ou tel tissu ou organe : par ex, le cerveau en cas de neuro-dégénérescence ou bien le pancréas, en cas de diabète… ; des fréquences de modulation à appliquer très régulièrement, durant des semaines et des mois ? n’en n’ayant pas l’expérience, il ne m’est pas possible de conclure à la pertinence de ces techniques. Je préfère utiliser en fait des plantes ou des nutriments, en encore les extraits tissulaires eux-mêmes, dont la cible est connue et dont l’efficacité est démontrée (par ex pour le foie, les extraits EPS de Chardon-Marie ou de Pissenlit, pour le pancréas, des nutriments comme le zinc, le chrome, etc …). Aujourd’hui le grand intérêt de Spooky via le SWD est la lutte contre les virus, bactéries et champignons, voire les parasites, ce qui est déjà beaucoup ! la règle est de commencer par les petits organismes et de terminer par les grands : ainsi il faut tuer d’abord les virus pour finir par les parasites macroscopiques. En synergie avec des produits comme les huiles essentielles (par ex, l’association du Dr Giraud réunissant Ledon du groenland, Helichryse italienne, Myrrhe et Ravinsara) ou bien un extrait de propolis, qui peuvent aussi être vectorisés par les ondes scalaires et/ou imprimés sur support aqueux, chaque utilisateur du SWD peut désormais manier les fréquences de Rife à visée anti-infectieuse. Ce progrès majeur dans les possibilités de modulations permises par le SWD devrait nous permettre d’augmenter encore l’efficacité de nos traitements par les ondes, en les adaptant toujours plus précisément au terrain individuel. Pour accéder à cette nouvelle technologie pour les actuels possesseurs d’un SWD, il faut procéder comme suit : télécharger le logiciel gratuit spooky2 et – pour ceux qui ont déjà un appareil SWD - commander le boitier générateur de fréquences Spooky2 -M5 (110 € environ) sur le site www.spooky2.com (que l’on reçoit sous 8 jours). Brancher ce boitier sur l’antenne réceptrice du SWD avec le câble fourni par Indel GmbH, constructeur du SWD. Lancer le logiciel spooky2, sélectionner les séries de fréquences de modulation désirées (que l’on peut sauvegarder pour un patient donné), appuyer sur start dans la fenêtre de lien vers le générateur externe ; démarrer une séance de 20 min par ex sur le SWD. Ce protocole est consigné – en même temps que de nombreuses autres précisions – sur le mode d’emploi en français ci-joint. Placer si nécessaire sur la bobine Tesla de l’antenne de réception, d’autres informations destinées au patient (quinton, extraits tissulaires, extrait de propolis, etc …). On peut jouer sur les paramètres de durée de la séance (Dwell multiplier), sur le crénelage de l’émission (gate), sur la limite de fréquence supérieure (par ex 2 MHz), sur l’application d’harmoniques de modulation très élevées, … bref, si vous souhaitez profiter au mieux de ces séries de fréquences de modulation, vous devez lire attentivement le mode d’emploi et faire beaucoup d’essais. Chacun peut télécharger le logiciel, le mode d’emploi en français (aussi en annexe de cette lettre d’information) et commencer à travailler avec l’ensemble [SWD-générateur XM-5-logiciel spooky2] pour le plus grand bien de vos patients. Ce n’est pas compliqué du tout et les résultats obtenus avec le SWD devraient être encore majorés par cet apport technologique majeur. Bon travail ! Avril 2016 Dr vét. Hervé JANECEK CYTOBIOTECH Sarl 912, Rue de la Croix Verte - Bat 3 CS 70488 34196 - MONTPELLIER cedex 5 Tél : 0033 (0)4 67670242 Fax : 0033 (0)4 67843136 courriel : hjanecek@cytobiotech.com site web : www.lecorps-hologramme.com |
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